Le secret de la maladie c’est l’espèce humaine
Notre théorie de la révolution (esquisse)

PRO maladie, c' est le principe, la guerre contre les médecins est le point central stratégique, sans laquelle il n’y aura jamais une fin de l’oppression et un commencement de la libération dans n’importe quel, absolument n’importe quel mouvement de libération, pas une utopathie, c’est-à-dire: pas d’espèce humaine, jamais. Donc tout d’un seul jet [aus einem Guss], à savoir le principe, la méthode, et l’objectif. Cela nous appelons la Diapathique, parce-que c’est une dialectique matérialiste, une dialectique matérialiste pour la première fois; matérialiste, parce-qu’elle est pré-conçue dans la substance de la dynamique de la maladie (maladie: substance, matière), l’espèce humaine à faire est le champ de tension énergétique appartenant et la force de la maladie est la force motrice (l’agent catalytique) se produisant avec ce tout, reconnaissable à ses influences et effets que font une nouvelle réalité, faisant sauter la réalité existante. Cela notre théorie de la révolution. Et la pratique, la pathopratique?: Etant tel different l'un de l'autre entre nous-mêmes [untereinander verschieden], nous sommes liés le plus intimement entre nous [engstens miteinander verbunden] depuis des dizaines, au moins aussi intimement que la maladie est liée à chacun en particulier de nous. C’est la force liant la plus forte. Celui qui tent la séparation, dont va faire l'experience [wird es erfahren].

La révolution est la force de maladie, autrement elle n’était aucune.

FRONT DE PATIENTS / COLLECTIF SOCIALISTE DE PATIENTS, PF/SPK(H), 1998